Bissl, ja - warte, ich verscheuche den Bären - eine wunderbare Szene ist auch die, in der Athos d´Artagnan gesteht, dass er an nichts mehr glaubt, wenn seinem Sohn etwas passiert:
-Ecoutez, mon ami : après m’être usé sur cette terre dont vous parlez, je
n’ai plus gardé que deux religions : celle de la vie, mes amitiés, mon
devoir de père ; celle de l’éternité, l’amour et le respect de Dieu.
Maintenant, j’ai en moi la révélation que, si Dieu souffrait qu’en ma
présence mon ami ou mon fils rendît le dernier soupir... oh ! non, je
ne veux même pas vous dire cela, d’Artagnan.
- Dites ! dites !
- Je suis fort contre tout, hormis contre la mort de ceux que
j’aime. A cela seulement il n’y a pas de remède. Qui meurt gagne, qui
voit mourir perd. Non. Tenez : savoir que je ne rencontrerai plus
jamais, jamais, sur la terre, celui que j’y voyais avec joie ; savoir
que nulle part ne sera plus d’Artagnan, ne sera plus Raoul, oh !... je
suis vieux, voyez-vous, je n’ai plus de courage ; je prie Dieu de
m’épargner dans ma faiblesse ; mais, s’il me frappait en face, et de
cette façon, je le maudirais. Un gentilhomme chrétien ne doit pas
maudire son Dieu, d’Artagnan ; c’est bien assez d’avoir maudit un roi !